quartier des auteurs

Vous voici à présent dans le quartier des auteurs. Philosophes, poètes, conteurs, tous se retrouvent ici pour exposer leurs oeuvres et si le coeurs leurs en dit, enseigner aux autres l'art d'écrire.


Retenez, les coups d'épée s'envolent les écrits restent....

Alera entra dans la salle, émerveillée elle posa sa sacoche sur le bureau

wouaaaaaaaaaaaaa il y avait longtemps que je n'avais vu telle merveille la pièce est grande la résonnance est bonne parfaite pour lire des poêmes bon au travail


Alera prend un bout de parchemin et note "Ici les épées s'envolent pour laisser place au mots qui font des cabrioles" et accroche avec un poignard le bout de parchemin sur la porte de la classe


Voilà c'est beaucoup mieu comme ça


se pose sur sa chaise et commence à écrire, regarde la classe sourit puis ce replonge dans l'écriture

DameMinute entra dans la salle des auteurs. Il n'y avait plus personne.
Elle s'installa au fond, dans un recoin, pour ne pas déranger Alera pour
le cas où cette dernière reviendrait.
Elle décida de mettre de côté les cours théoriques, et d'offrir une
histoire à ses élèves. Après tout, en cette période de fêtes, elle
pouvait bien leur faire ce petit cadeau. Les choses sérieuses
commenceraient plus tard. Un conte pour enfants serait très aproprié se dit-elle.
Elle attendit. Personne ne venait. Alors, lui vint une idée. Elle avait
vu une bande de gamins qui jouaient aux abords de l'académie, elle
décida d'aller les chercher.
Elle revint avec la petite bande de mioches un peu loqueteux, très
intimidés. Elle les fit assoir autour d'elle et pris la plus petite sur
ses genoux.
Soyez sages les enfants ! Ici il y a des gens qui travaillent. Je vais vous raconter une histoire.
J'espère que le directeur ne sera pas fâché, mais je sais qu'il a bon
coeur se dit DameMinute, et puis il me faut un public. A quoi bon raconter une histoire s'il n'y a personne pour l'écouter.Et commença ainsi son histoire :

LA FORET DES CHENES BLEUS

En des temps très anciens dans une lointaine contrée, se trouvait une forêt enchantée, la forêt des chênes bleus.
Les arbres étaient magnifiques, mais verts comme partout. L'herbe était moelleuse et tendre, mais verte comme partout. Alors, me direz-vous pourquoi l'appelait-on la forêt des chênes bleus ? Hé bien, parce que les chênes dépassaient en beauté toutes les autres merveilles de la forêt. Ils étaient grands, majestueux et leur feuillage était d'un beau bleu brillant comme nulle part ailleurs. Leurs glands renfermaient en leur cœur un petit saphir. On les trouvait en grand nombre et c'est pourquoi on appelait cette forêt, la forêts des chênes bleus. On trouvait également de belles sources d'une eau pure et fraîche.
Cette forêt était peuplée d'oiseaux aux chants les plus mélodieux et aux plumages multicolores. Les fleurs y poussaient à foison et distillaient de merveilleux parfums. Les animaux vivaient paisiblement en ces lieux paradisiaques. Daims aux yeux bleus, biches aux yeux bleus, belettes aux yeux bleus, renard aux yeux bleus, écureuils aux yeux bleus et bien d'autres encore.
Mais dans cette forêt vivaient des créatures plus étranges encore, les lutins-trolls. Ni lutins, ni trolls, mais juste des lutins-trolls. Gentils, drôles et bleus. A ne pas confondre avec les gnomes-trolls qui eux sont complètement verts comme chacun sait, beaucoup moins gentils et surtout, pas drôles du tout.
Les lutins-trolls vivaient au pied des chênes dont ils ramassaient les glands. Les saphirs étaient leur nourriture, c'est pourquoi ils étaient entièrement bleus. Le reste, ils le partageaient avec les animaux de la forêt. Ils s'occupaient avec beaucoup de soin des arbres, des plantes et de toutes les bêtes, petites et grandes, qui peuplaient la forêt. Le bonheur et la prospérité régnait dans ce merveilleux endroit.
Au fait les enfants, voulez-vous voir à quoi ressemble un lutin-troll, demanda DameMinute :
Ouiiiii crièrent les enfant.
Elle sorti un dessin de la boîte où elle rangeait, couleurs et dessins :
Les enfants rirent aux éclats.
DameMinute leva les yeux vers la fenêtre et vit que la nuit tombait.
Vite les enfants, il faut rentrer chez vous, il est déjà très tard. Je vous raconterai la suite un autre jour.

Marz1 se trouvait vers la porte, il avait également écouté l'histoire de dameminute et avait beaucoup rit aussi

Marz1 entra alors que les enfants sortaient

Et bien madame, bravo .

Vous dessiner bien les gnomes-torllls aussi euh pardon...les lutins trolls ! Vous prenez des cours de peinture ?

Je prends des cours avec le meilleur des professeurs, mon cher Marz : vous.
Vous êtes si patient, que l'on n'a aucun mérite à essayer d'être bons.

je n'ai qu'une seule chose à répondre à cela >>>

DameMinute entra et vit la salle toujours vide.
He bien, j'ai un franc succès avec mes cours. Pourvu que Messire Roen ne regrette pas de m'avoir engagée..
Bon, puisque je suis là, continuons l'histoire d'hier. Cela me fera un entraînement. Et puis, en entendant ma voix, peut-être que quelqu'un entrera.
LA FORET DES CHENES BLEUS (suite)
Et c'est donc dans cette belle et paisible forêt que vivait
Badolidou-Tibilidou, le plus jeune de tous les lutins-trolls.
Le nom n'est point commun pour nos oreilles humaines, mais chez les
lutins-trolls c'est un nom très répandu.
Badolidou-Tibilidou était comme tous les lutins-trolls, gentil, drôle et
bleu. Il avait un joli bonnet, de grandes oreilles pointues et de
grands, très grands pieds, Mais surtout, il était très très timide et
très très étourdi. Sa demeure était la plus petite de toute la forêt, au
pied du plus petit chêne bleu
Les autres lutins-trolls pensaient que ce n'était pas très sérieux et
que Badolidou-Tibilidou n'apportait pas assez de soins à son chêne et
qu'il n'était pas gentil avec lui. C'était faux bien sûr,
Badolidou-Tibilidou aimait son chêne et se comportait très gentiment
avec lui, mais il était si étourdi que parfois il oubliait de faire le
nécessaire. Alors, son chêne, très rancunier, comme tous les chênes
bleus, poussait mal et produisait peu de glands. De sorte que
Badolidou-Tibilidou n'avait pas toujours de quoi manger à sa faim, et
quand il avait assez de glands, parfois il oubliait de manger. Alors,
bien sûr, il était le plus petit de tous les lutins-trolls qui n'étaient
déjà pas très grands dans l'ensemble.
Badolidou-Tibilidou était souvent seul car il était trop timide pour
rencontrer les autres et faisait souvent de longues promenades
solitaires, parfois même il se perdait et mettait plusieurs jours à
retrouver sa maison. Ce qui est une chose très rare chez les
lutins-trolls qui savent toujours retrouver leur chemin. Tout cela
désolait les autres lutins-trolls qui disaient avec leur étrange façon
de parler :
Badolidou-Tibilidou, étourdi ne serait-il point ? Qu'il se
perde pour toujours, peur ne devrions-nous pas avoir ?
Les lutins-trolls ne quittaient jamais leur forêt et ne s'approchaient
jamais de la lisière trop proche du monde des humains. De même les
humains n'entraient jamais dans cette forêt qu'ils trouvaient étrange.
C'est la raison pour laquelle les humains n'avaient jamais rencontré de
lutins-trolls. De même, il n'y avait pas beaucoup de lutins-trolls
pouvant se vanter d'avoir vu des humains.
Jusqu'au jour où.......
(la suite demain)
Enfin, peut-être, si je ne trouve pas bientôt des élèves, je vais me faire renvoyer de l'Académie. Suis sûre qu'avec quelques bons vieux ragots biens croustillants, j'aurais plus de chance de trouver du monde pour m'écouter.
DameMinute soupira et quitta la salle.

stellie sorta de sa cachette

cela m'interresse votre histoire et j'aimerais avoir la suite

Roen qui avait entendu l'histoire alors qu'il se rendait dans son bureau entra alors dans la salle

Je suis tout à fait d'accord avec Dame Stellie. Votre histoire est passionante! Qui plus est il est hors de question de renvoyer qui que se soit de l'Académie!
Il est vrai que les éléves ne sont point nombreux, c'est dommage. Ce n'est guère une affaire florissante, le temps des artistes ne semble pas être celui-ci. Les Hommes préférent les armes...
Homo homini lupus est, je crois que cela résume bien notre temps...

Quoi qu'il en soit vous faites du bon travail dame Minute, il ne faut pas si rapidement baisser les bras. Nous trouverons bien des éléves, même si pour cela il faut ouvrir l'Académie à plus d'un comté!

Et je veux connaitre la suite de cette hisoire! Alors au travail!

Sur quoi il sourit aux deux jeunes femmes

Halala j'aime pas les "aàsuivre...". Votre histoire est super dameminute et j'ai vraiment hate de connaitre la suite !

tres belle histoire dame minute mais c'est vrai que nous restons sur notre faim la....mais ca rajoute un peu de piment on a hate, je pense pouvoir parler pour tout le monde et meme de la part de nos eleves fictifs,d'entendre la suite demain...

On veut la suite!, on veut la suite!!

Buchettes décida de s'assoir et d'attendre DameMinute pour connaître la suite de cette histoire. Il attendit tant et si bien qu'il fini par s'endormir attendant que DameMinute le reveille avec sa voix enjoleuse de conteuse de laquelle sortait cette merveilleuse histoire

heu... minute je suis pas vraiment une eleve parce que je veux pas apprendre, mais je veux l'histoire. Tu racontes vraiment bien.
Dis, je pourais avoir l'image a la fin de l'histoire??? s'il te plait

Oui ça c'est vrai ! C'est quand qu'elle vient la suite...??

*Marz était tout content de voir son amour et encore plus quand elle se mit dans ses bras*

Moi je bonge pas d'ici tant que j'ai pas la suite

Oh, mince, la professeur n'est pas là? Je voulais prendre des cours...à ce train là je vais prendre des cours partout
Bon...je repasserai plus tard. Il faut encore que j'aille voir pour prendre d'autres cours...

voilà. voilà. S'écria DameMinute en arrivant essouflée.
Belle assemblée, merci mes amis.
Vous voulez la suite ? La voilà.
Hum, c'est moins intimidant avec des enfants ou une salle vide.
Allez courage ma fille, vas-y !

LA FORET DES CHENES BLEUS (suite et fin)

Jusqu'au jour où...
Jusqu'au jour où Badolidou-Tibilidou décida d'aller se promener. Il
marchait la tête en l'air, saluant les oiseaux, trébuchant sur une
branche à laquelle il demandait pardon, s'asseyant sur un gros
champignon pour se reposer un instant, félicitant une biche pour la
beauté de son faon, respirant une fleur au parfum envoûtant. Le tout
avec un large sourire illuminant sa drôle de petite bouille. Avec les
créatures de la forêt il perdait sa timidité et n'hésitait pas à se
lancer dans de grandes conversations avec elles. Il faut dire que les
animaux de la forêt des chênes bleus comprenaient parfaitement la
langue des lutins-trolls. Il leur racontait combien il était désolé de
faire de la peine à ses amis lutins-trolls, mais il n'y pouvait rien,
c'était ainsi. Il n'arrivait pas à vaincre sa timidité, quant à son
étourderie, il ne s'en rendait même pas compte.
Il continuait sa promenade, toujours plus loin, sans prendre la peine de
reconnaître son chemin. Et comme d'habitude, il ne su bientôt plus du
tout où il était. Il fit demi-tour, revint sur ses pas, tourna à droite,
puis à gauche, tournant en rond et roulant des yeux encore plus ronds.
Tant et si bien, qu'il arriva à l'orée de la forêt. Il vit à travers les
arbres, des prés, des champs, une autre forêt et tout au loin, un
château. Il se demanda ce que cela pouvait bien être. Il n'osa pas aller
plus loin et s'assit derrière un buisson pour regarder, tout à son aise,
cet étrange paysage.
Ce jour là, la duchesse qui habitait le château, une femme cruelle et
vénale qui s'appelait Salnarine, décida d'aller à la chasse avec toute
sa cour en grand équipage, sa meute de chiens, ses rabatteurs, ses
piquiers, ses sonneurs de trompes de chasse, sa garde personnelle, son
bouffon qui courait derrière en agitant ses grelots, ses valets, et
jusqu'au marmiton qui portait les victuailles.
Tout ce beau monde galopait dans un fracas épouvantable fait de cris,
sonneries de trompes de chasse, cliquetis d'armes, aboiements de chiens.
Ravageant les cultures des pauvres paysans sur leur passage, ils
cherchaient sans relâche du gibier à traquer. Mais c'était une journée
de malchance pour les chasseurs, pas la moindre bestiole à massacrer. La
duchesse Salnarine était furieuse, elle parcourait ses terres de long en
large, promettant de faire du hachis de la première créature qui
tomberait sous ces flèches.
Et ce fut une jolie biche qui eut ce privilège. La meute féroce la prit
en chasse. La pauvre biche fila comme le vent à travers prés. La
poursuite dura longtemps. La pauvre bête épuisée aperçu la forêt des
chênes bleus et s'y réfugia. Folle de rage, la duchesse Salnarine décida
de poursuivre la biche dans la forêt au grand étonnement de sa suite peu
rassurée.
C'est à ce moment là que Badolidou-Tibilidou vit passer la troupe
bruyante à son grand étonnement, toujours caché derrière son buisson.
La troupe continua son chemin sans le voir, s'enfonçant toujours plus
loin dans la forêt.
Mais qu'est-ce donc que Badolidou-Tibilidou avoir vu là ? dit notre
lutin-troll. Rentrer chez moi, je dois !
Et IL pris le chemin du retour, enfin ce qu'il croyait être le chemin car décidément notre pauvre ami n'avait aucun sens de l'orientation.
Pendant ce temps, la troupe sauvage essayait de retrouver la piste de la
biche, mais sans succès. Mais ce que virent les chasseurs dépassa leurs
espérances. Toutes sortes d'animaux peu farouches étaient là, à leur
portée. Les animaux de la forêt des chênes bleus n'avaient pas peur des
humains car ils n'en avaient jamais vu et donc ne se sauvaient pas.
Frustrée de sa chasse manquée, la terrible duchesse au comble de la
rage, sonna le début du massacre. Ce fut la curée. Mais les pauvres
animaux de la forêt n'étaient pas des animaux ordinaires, en mourant ils
disparaissaient dans une brume arc-en-ciel. Les chasseurs tuaient,
tuaient encore, sans avoir de gibier à rapporter.
Pendant ce temps les pauvres petits lutins-trolls cachés dans les
fourrés, les buissons, derrière les souches, dans les troncs creux,
étaient impuissants devant une telle sauvagerie et tous, les uns après
les autres, mouraient de chagrin en s'évanouissant, eux aussi, dans une
brume arc-en-ciel.
Sans leurs protecteurs, les chênes bleus commencèrent aussi à dépérir.
Ils commencèrent à perdre leurs glands en grande quantité. Ceux-ci
tombèrent sur les chasseurs qui s'aperçurent très vite qu'ils
contenaient des saphirs. Alors, une autre dévastation commença.
L'odieuse duchesse commanda de faire abattre les chênes pour récupérer
les saphirs. Cela dura des jours. La belle forêt fut dévastée
entièrement.
Et Badolidou-Tibilidou me direz-vous ? Notre petit lutin-troll ne vit
rien de tout cela au début. Il cherchait son chemin, encore et encore.
Parfois, trop fatigué, il s'endormait en rêvant à l'étrange troupe qu'il avait vu passer. Il s'imaginait être comme eux, grands, si grands, lui qui était si petit. Si forts et sans peur, lui qui était si timide. Alors, il rêvait, rêvait qu'il était comme eux.
Quand après bien des jours, la duchesse rentrée dans son domaine, n'ayant laissé derrière elle que désolation, Badolidou-Tibilidou lui arriva
enfin chez lui. Il ne s'était aperçu de rien, étant toujours dans la
lune, mais là, il vit qu'il n'avait plus de maison. Son petit chêne
bleu avait été abattu. Il était seul. Plus personne. Plus de
lutins-trolls, plus d'animaux, d'oiseaux, de chênes bleus.. Alors, un
immense chagrin s'empara de notre petit Badolidou-Tibilidou.
Ses sanglots attirèrent la reine des fées que la destruction de la belle
forêt avait alertée. Elle venait voir si sa magie pouvait rendre vie à
la forêt, mais le mal était irréversible.
Ne pleure pas petit lutin-troll, sinon comme tes frères, la mort
t'emportera. Mais rien ne pouvait le consoler. Le reine des fées jeta de
la poudre de fée sur le lutin-troll afin de l'endormir. Et
Badolidou-Tibilidou se mit à rêver. Rêver des étranges créatures qu'il
avait vues, sans avoir qu'elles étaient responsables de cette horreur.
La reine des fées se dit que Badolidou-Tibilidou était le dernier de sa
race et qu'il allait mourir lui aussi de chagrin.
La seule solution était de le transformer. Mais en quoi, elle pensa
d'abord à un animal, mais pensant à l'affreux carnage, se dit qu'il
fallait trouver autre chose. Il fallait laisser le lutin-troll choisir,
mais si elle le réveillait maintenant le chagrin le tuerait.
Alors, elle eut une idée et prononça ces mots en agitant sa baguette
magique :
Que Badolidou-Tibilidou devienne la créature de son choix et que ses
rêves deviennent son choix.
Qu'il oublie son passé afin que son futur soit serein.
Doucement, le petit lutin-troll se transforma. Il grandit un peu, perdit
son beau bleu, ses oreilles devinrent plus petites et toutes rondes,
quoique d'une taille encore très respectable, il garda de temps en temps
son étrange façon de parler et sa drôle de petite bouille, ainsi que le
début de son nom.
Pour le reste, il a tout oublié, alors si vous le croisez ne lui dites
rien pour ne pas lui faire de la peine. Mais si, vous pouvez le croiser.
Il se promène parfois dans les rues de Calais. Je suis sûre que vous le
connaissez. Non ? Alors, je vais vous le présenter :

Il s'appelle Badon !
FIN

elle est trop triste cette histoire. les pauvres.
racontes en une moins triste s'il te plait

Trés original comme histoire Dame Minute.

Ne pleure pas Emi, ce n'est qu'une histoire. Elle est triste, certes, mais la fin, pour qui connaît Messire Badon, permet de finir sur un sourire. c'est une des choses que j'enseignerai... On peut trouver Messire Badon sur le forum officiel, il fait quelques apparitions.

Merci Roen, je suis ravie que cela vous plaise.
La semaine prochaine on attaque la théorie. Cette histoire sera une référence ou un support pour le cours.
D'autres histoires viendront dans un autre style, entrecoupées de cours théoriques. Et ensuite, il faudra que les élèves s'y collent. J'attends ce moment avec impatience...

La Gueuse applaudit à s'en arracher la peau des mains tant cette belle histoire lui avait plue (surtout la fin )

Bravo ! Bravissimo ! Une autre, une autre, une autre !

Salnarine ? une duchesse méchante et cruelle ? ça me dit quelque chose ça non ?




Bravo madame c'étais....super, encore mieux que vos peinture

Whouah!!!

J'ai été adopté par la bonne maman!!!

Elle est trop bien ton histoire, pas si naïve qu'elle ne le parait... (l'hisoire j'entends)

Tiiens, notre milou s'instruit dans notre belle académie ?